Des cartables pour la génération « swipe »

Jeune Premier lance la fermeture ergonomique 'Easy Lock'

Bien que la recherche scientifique ne le confirme pas pour l'instant, les thérapeutes et les institutrices maternelles en sont convaincus : le développement de la motricité fine des enfants se détériore. Pardon ? La faute à l'iPad, qui ferait des ravages sur la motricité fine. Ainsi, ouvrir une fermeture de cartable standard relèverait du véritable défi pour les tout-petits. Une nouvelle qui n’a pas manqué de stimuler l'intuition et la créativité d’Hélène Fransen, fondatrice et directrice créative de Jeune Premier. Le résultat ? La toute nouvelle fermeture Easy Lock.

"À la fois ergonomique et stylé !" ​
Hélène Fransen

« Swiper » vers le bas avec Jeune Premier
Fini de s’acharner sur l’ouverture d’un cartable : Jeune Premier lance EASY LOCK. Désormais, grâce à cette fermeture ergonomique, il vous suffit de « swiper »  vers le bas, et le cartable s’ouvre. Résultat : des enfants fiers, autonomes et des institutrices heureuses. De plus, grâce à un système magnétique, la mallette est aussi ultra simple à fermer : les deux parties du fermoir s’assemblent en un seul clic.

Les cartables dotés de cette fermeture seront lancés sur le marché pour la première fois au mois de juin. Les tout-petits (jusqu'à 4 ans) trouveront leur bonheur dans la gamme Mini, et les plus grands opteront pour les cartables Midi ou Maxi. 

Le compte à rebours est lancé pour ces graines de génie Jeune Premier au look stylé, sur https://jeunepremier.be/.

3,2,1... Vive la rentrée !

À propos de Jeune Premier
De Paris à Séoul, les cartables les plus cool sont belges. Leur marque : Jeune Premier.Hélène Fransen a conçu le premier modèle à sa table de cuisine à Ostende, car elle n’avait pas trouvé mallette à son goût pour son fils Ralph parmi l’offre du marché. C'était en 2012. L'année scolaire suivante, l'entreprise a vendu plus de 100 000 cartables. Les enfants adorent les couleurs, mais les parents préfèrent la qualité. Tout comme Hélène Fransen et son mari Bruno Piers, qui l’a encouragée à poursuivre la commercialisation de ses créations.

 

 

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